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Investissement Direct Étranger, transition energétique et degradation de l’environnement : évidence des pays d’Afrique subsaharienne
Purpose: The purpose of this study is to investigate the relationship between Foreign Direct Investment (FDI), energy transition, and environmental pollution in Sub-Saharan Africa spanning the period 1985 to 2020. Design/methodology/approach: Divers econometrics approaches were used in order to have robust results. The cross-sectional dependency test was conducted and the results confirmed the presence of cross-sectional dependency among variables and this led to the usage of the second-generation unit root test. The analysis was conducted using the Driscoll and Kraay method, which helps address endogeneity, autocorrelation, and heteroscedasticity. Findings: The results show that the pollution haven hypothesis is confirmed and that renewable energy usage which measures the energy transition diminishes environmental pollution. The coupled effect of foreign direct investment and renewable energy diminishes the environmental pollution. The population density increases environmental pollution. The same effect is also observed for trade and gross domestic product on environmental pollution. Originality/value: This current study contributes to the existing literature through the analysis of the effect of foreign direct investment on the usage of renewable energy on environmental quality which is an essential element in the transition economics because there are several studies conducted to establish either the relationship between foreign direct investment and environmental pollution or renewable energy usage and environmental pollution but this study beyond this aspect will help knowing how both foreign direct investment and renewable energy affect environmental quality for policy recommendation. We then suggest from these results that more efforts should be made in order to increase the rate of foreign Direct Investment in Sub-Sahara African Countries, particularly the attraction of green technologies which can help produce more renewable energies.
Objectif: L’objectif de cette étude est d’analyser la relation entre les investissements directs étrangers (IDE), la transition énergétique et la pollution de l'environnement en Afrique subsaharienne sur la période 1985 à 2020. Conception/méthodologie/approche: Diverses approches économétriques ont été utilisées afin d’obtenir des résultats robustes. Le test de dépendance transversale a été effectué et les résultats ont confirmé la présence d'une dépendance transversale entre les variables, ce qui a permis l'utilisation du test de racine unitaire de seconde génération. L'analyse a été réalisée à l'aide de la méthode de Driscoll et Kraay, qui permet de traiter l'endogénéité, l'autocorrélation et l'hétéroscédasticité. Résultats: Les résultats montrent que l’hypothèse << pollutio haven>> est confirmée et que l’utilisation des énergies renouvelables qui mesure la transition énergétique diminue la pollution environnementale. Aussi l’éffet couplé des investissement direct à l étranger et les énergies renouvelable minimise la pollution de l environnement .La densité de la population, le commerce et le produit intérieur brut augmente la pollution de l'environnement. Originalité/valeur: Cette étude contribue à la littérature existant sur l’analyse de la relation entre investissement direct à l’étranger et la pollution de l’environnement ou énergies renouvelable et pollution de l’environnement en portant un regard particulier sur l’effet couplé de l’investissement direct à l’étranger et l’usage des énergies renouvelables sur la qualité de l’environnement. Nous pouvons suggérer à partir de ces résultats que d’ample efforts devraient être faits afin d'augmenter le taux d'investissement direct étranger dans les pays d'Afrique subsaharienne, en particulier l'attrait des technologies vertes qui peuvent aider à produire davantage d'énergies renouvelables.