Tytuł pozycji:
Czy "dobry Bóg tkwi w szczególe"? : przyczynek do "obrazu" Boga w "Boskiej Komedii" Dantego
- Tytuł:
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Czy "dobry Bóg tkwi w szczególe"? : przyczynek do "obrazu" Boga w "Boskiej Komedii" Dantego
Est-ce "le bon Dieu qui se trouve dans le détail"? : contribution à limage de Dieu dans la "Divine Comédie" de Dante
- Autorzy:
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Klemczak, Stefan
- Data publikacji:
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2000
- Język:
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polski
- Prawa:
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Dozwolony użytek utworów chronionych
http://ruj.uj.edu.pl/4dspace/License/copyright/licencja_copyright.pdf
- Dostawca treści:
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Repozytorium Uniwersytetu Jagiellońskiego
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L’essai "Est-ce le bon Dieu qui se trouve dans le détail?" - mysterium cosmographicum dans la Comédie de Dante n’a pas comme but une reconnaissance précisé de la conception de Dieu dans le poème divin. Le titre évoque une sentence fameuse diffondue par Aby Warburg en cherchant de saisir à la lettre le problème de l’attribut de "bonté". En contemplant les détails des métaphores à travers lesquelles le poète dévoile (en lui étant permis) le "visage" du créateur nous avons voulu trouver la nouveauté de la conception de l’absolu dans la "summa poetica" du Moyen âge. Les recherches historiques nous permetteraient de déterminer les enchaînements intriguants provenants des traditions differentes qui composent une forme encyclopédique et en même temps dogmatique de la divinité qui concentre en soi toutes les "dynamoi" du poème. Pagan mysterys qui encore s’unient docilement à la tradition biblique-patristique dans une totalité constituent une des préparations plus importantes de l’équilibre bref du monde de la Renaissance (J. Burckhardt) qui commence l’époque moderne. Après avoir distingué quelques définitions, des images ou bien des descriptions nous avons constaté que le bon dieu de Dante ne se cache dans aucun détail, mais il s’exprime de la perspective de la totalité de l’oeuvre. Mysterum cosmographicum de la Comédie se renferme dans une insaisissable pratiquement richesse des détails qui échappent presque toujours à la lecture et qui ensemble dans le système du poème sont liés par les "terzine" illustrent l’oeuvre encore harmonieux de la création. Le poète dans "l’image rejetée" en nous conduisant dans les trois royaumes, tout en évoquant le quatrième - le notre monde, montre la "bonté" de l’oeuvre divin (deus artifex) qui s’exprime en chaque détail de la danteide. La maxima est inclue par la minima et vice versa et cette dialectique est une des dernières épreuves, sur si grande échelle, de la découverte de la nature de bon créateor mundi.